Pour l’IGF les allégations du sénateur Matata sont des « contre-vérités »

L’inspection Générale des finances (IGF) répond aux déclaration faites par l’ancien premier ministre Matata Ponyo Mapon concernant l’audit sur la gestion des fonds alloués au projet de la ferme BUKANGA LONZO

Pour l’IGF les allégations de l’ancien ministre des finances sont des « contre-vérités à Classer dans le même Ordre que le théâtre du Rapport d’une parodie d’enquête Journalistique Publié la semaine passée »à réagit à chaud l’IGF

Rappelons que le sénateur Mapon dit tout simplement attendre que ce rapport lui parvienne

« Nous attendons le jour que l’IGF viendra dire la vérité au lieu de faire le flou on a pas besoin de flou on a besoin de savoir combien a été détourné et qui a pris de l’argent et combien il a pris et il l’a mis où ? Voilà les questions que vous les journalistes vous devez poser à l’IGF moi j’ai demandé qu’on fasse cet audit mesdames et messieurs , j’ai demandé qu’on commence depuis 2003 quand j’ai été DG du BCCO avez-vous déjà vu dans ce pays un dirigeant qui a demandé qu’on audite sur ses activités de gestion ? C’est la première fois. » A-t-il déclaré.

Il vous souviendra que L’inspection Générale des Finances (IGF) avait publié le mercredi 18 novembre de l’année passée au cours d’une conférence de presse, le rapport de plusieurs missions diligentées y compris celle de la ferme agro-industrielle Bukanga Lonzo.

Le patron de l’IGF avait EB son temps indiqué que le trésor public a sorti 285 millions USD pour le projet Bukanga Lonzo. D’après l’enquête de l’IGF, il s’avère que la situation actuelle est de 80 millions USD dont 40 millions pour la station électrique. Cependant, l’IGF a affirmé que la RDC a perdu 205 millions USD dans ce projet.

D’après la contre-enquête menée par les 4 journalistes congolais à savoir : Israël Mutala, Eric Tshikuma, Rachel Kitsita et Bibak.

«Il semble évident que le projet ne s’est pas écroulé à cause de prétendus détournements ou à cause de la supposée mauvaise qualité de sol, mais l’arrêt brusque de son financement en est la cause principale. Ceci ne veut pas dire que la gestion du PAIBL était exempte de tout reproche. Si la faute de gestion i y a dans le management du PAIBL, celle-ci n’est pas de nature à provoquer son écroulement», lit-on dans cette enquête.

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