Culture

La prochaine édition du magazine « awa « met en première ligne le sénateur Guy Loando

Guy Loando Mboyo, tenez la petite histoire

digne fils du pays, la vision à long terme forgée par une enfance modeste et riche en principes

Un self-made man pour qui, l’humilité et la rigueur, sont les mots-clés de sa personnalité. Il n’a pas hérité d’une fortune ou encore de l’or de ses parents…mais bien plus !

Il a hérité des valeurs telles que le partage, la solidarité et le travail qui font désormais partis de son ADN. C’est sur ces valeurs riches que Guy Loando, depuis sa petite enfance, a bâti ses principes de vie qui l’ont hissé au rang social qu’il occupe actuellement.

Bonne presse est faite du fameux ‘rêve américain’ ; même sans être américain, ce concept est bien connu par tous. Cette idée selon laquelle n’importe quelle personne vivant aux États-Unis, peu importe ses origines, son héritage, mais par son travail, son courage et sa détermination, peut devenir prospère. Guy Loando, peut humblement incarner ‘le rêve congolais’. Au-delà de la prospérité, il peut également incarner l’espoir et la vision du pays à long terme dont on ne parle pas assez.

Une histoire moins atypique, une enfance pour être mieux forgé.

Né d’une famille modeste mais bien riche en amour et principes, composée de 8 enfants ; 4 garçons et 4 filles dont 1 personne d’entre elles est décédée et des parents chrétiens catholiques, Guy Loando a grandi dans un environnement familial influencé par une vie tournée vers la prière, le don de soi pour l’excellence et les autres.

Proche des prêtres catholiques qui ont joué un rôle important dans son éducation, Guy Loando hérite fièrement de son enfance l’inculcation des valeurs qui guident chaque étape de sa vie ; parmi elles, la solidarité, la discipline, la recherche de l’excellence, bannir l’égoïsme, le tribalisme et le népotisme ainsi que le sens du respect de la communauté et la solidarité. 

S’il y a des notions qu’il a retenu de son environnement catholique à l’époque en provinces, et qui ont bien motivés par la suite le besoin de créer La fondation Widal et même entrer en politique, c’est être entièrement et totalement au service des autres.

Très jeune déjà, Guy Loando fut membre du club catholique, communément appelé Kizito Anuarité.

Il a été servant à la messe et à l’appréciation de tous les membres, des prêtres et de son évêque, Guy s’est démarqué par son sens de service aux autres et son engagement au point qu’une fois déplacé pour Mbandaka, à l’occasion de la mutation professionnelle de son feu papa, Mboyo Loando Pierre, il intègre l’extension du club qui y était présent localement, à Bokungu. Son enfance a été également marquée par son implication culturelle et scientifique (littéraire) à travers des pièces de théâtre et des récitals de poèmes dont il était parmi les protagonistes, lors de son cursus secondaire. Ce fut un jeune homme très apprécié par la communauté tant par le corps professorale que par ses camarades de classes et par l’église.

« Guy Loando fut un jeune garçon très proche de son feu père. Ce père qui lui a montré plutôt le « comment pêcher, s’en sortir dans la vie » versus « manger et profiter d’aujourd’hui ». Dès la petite enfance, malgré l’environnement modeste, son père a su maintenir et encourager les grands rêves de son fils. Un jeune garçon qui était déjà très ambitieux, qui avait soif de découvrir le monde et offrir mieux à sa famille et à sa communauté » témoigne l’un de ses proches.

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