Lualaba : Plus de 17 000 candidats entament l’Examen d’Etat sous la supervision du vice-ministre de l’éducation nationale
Ce lundi, la province du Lualaba a marqué le coup d’envoi des épreuves de l’Examen d’État édition 2024 à Kolwezi. La cérémonie officielle, qui s’est déroulée à l’institut Salvator, a été présidée par Jean-Pierre Kezamudru, vice-ministre de l’Éducation nationale et de l’initiation à la nouvelle citoyenneté. Cette inauguration solennelle a vu la participation du ministre provincial de l’Intérieur, représentant la gouverneure Fifi Masuka, ainsi qu’un parterre d’acteurs œuvrant dans le secteur de l’éducation, notamment l’Inspecteur principal provincial.
La 56ème édition de l’Examen d’État est organisée sur toute l’étendue de la République Démocratique du Congo, et la province éducationnelle Lualaba 1 n’est pas en reste. Cette année, elle a enrôlé un total de 17 357 candidats, dont 7 789 filles et 9 568 garçons, témoignant d’une forte mobilisation et d’un intérêt accru pour l’éducation dans la province.
Jean-Pierre Kezamudru, fort de son expérience d’ancien inspecteur, a prodigué des conseils avisés aux finalistes, les exhortant à respecter scrupuleusement les consignes. Il a souligné que de nombreux échecs sont souvent dus à une mauvaise gestion des items d’examen. De son côté, Déodat Kapenda Wa Kapenda, représentant de la gouverneure, a encouragé les candidats à ne pas confondre vitesse et précipitation, les assurant de la qualité de leur préparation.
Pour garantir le bon déroulement des épreuves, la délégation du vice-ministre de l’Éducation nationale a visité plusieurs centres d’examen, dont l’Institut Technique de Mutoshi, le Complexe Scolaire La Grandeur et l’Institut Hewa Bora. Ces visites ont permis de constater l’organisation et le sérieux avec lesquels les examens sont conduits, assurant ainsi des conditions optimales pour tous les candidats.
Les finalistes de cette année se sont montrés particulièrement confiants. Beaucoup ont exprimé leur satisfaction quant à la qualité de leur préparation et estiment avoir bien réussi leurs épreuves de culture générale. Cette confiance est de bon augure pour les résultats à venir et témoigne du travail acharné des enseignants et des élèves tout au long de l’année scolaire.
Rédaction/zoometrezoom.com