« Nous reconnaissons le droit à chacune des confessions religieuses de prendre une position. »
Sans la présence des catholiques et protestants, les 6 autres confessions religieuses ont trouvé celui devra désormais présider aux destines de la centrale électorale.
« Nous reconnaissons le droit à chacune des confessions religieuses de prendre une position , de se retirer devant une quelconque décision à prendre. »avait déclaré le porte-parole de circonstance
Selon certaines indiscrétions, Denis Kadima, soutenu par les Kimbanguistes, serait celui sur qui les six confessions religieuses ont porté leur choix à l’exception des catholiques et protestants qui n’ont pas pris part au vote. Ces derniers se sont retirés des discussions après le manque de consensus au terme des discussions qui ont eu lieu ce même mardi au centre interdiocesain.
L’Eglise catholique qui avait quitté la salle , avec comme raison le manque de consensus , avait déclaré que la séance devait reprendre le jour suivant , apprenant le parachèvement des travaux sans sa présence , déclare que le document signé n’aura pas de valeur.
« Selon les règle de jeu de notre charte, il faut que le procès verbal de la désignation du Président de la CENI soit établi et signé par soit le président de la plate-forme des confessions religieuses seul, soit le président avec les chefs des confessions … Je ne sais pas si ce document qui sera signé aura quelle valeur ? A moins qu’il s’agisse d’un forcing politique avec toute les conséquences possibles », a rétorqué Mgr Marcel Utembi, président de la Conférence des évêques catholiques, dans une interview accordée à la journaliste Rachel Kitsita de Actu30 à Kinshasa.
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