Lucha dénonce le forcing et/ou le braquage politique qui a été appliqué par le détenteur du fauteuil présidentiel.

Le Président de la République Démocratique du Congo s’était engagé à faire de l’année 2020 « l’année de l’action » afin de redresser le vécu des congolais. Au demeurant, à l’aurore de l’année susdite, un énorme doute a eu raison des espoirs qu’avait générés cette grande annonce considérant que les rivalités politiques intenses au sein de la coalition gouvernementale FCC-CACH, « coalition fondée sur un deal opaque » 1 ont enterré tout ce qu’il en restait du moins de « République et de Démocratique » au Congo. A-t-on vu qu’au détriment de l’amélioration des conditions des congolais déjà précaires, le Président s’est illustré et engagé par « tous les moyens » dans une bataille politique visant à rompre le mariage qui l’avait porté au pouvoir depuis le 24 janvier 2019.

En outre, certains observateurs, y compris le FCC (allié de la coalition) notent que l’approche utilisée par le Président aurait d’une certaine manière violé les prescrits ou l’esprit de la constitution ainsi que d’autres lois et règlement en vigueur. En effet, le forcing et/ou le braquage politique qui a été appliqué par le détenteur du fauteuil présidentiel s’est fondé sur le débauchage politique (jadis dénoncé) sur fond de la corruption des certains élus nationaux pour former « l’Union Sacrée » de la République après les consultations présidentielles de novembre 2020.

Lucha

Télécharger la Fatshimetrie l’an 2 de Felix

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Résoudre : *
30 − 10 =