Gratuité de l’enseignement, une initiative salvatrice pour les travailleurs de Kisenge Manganèse qui accusent plus de 200 mois d’arriérés de salaire.
Depuis l’arrivée de madame Fifi Masuka à tête de l’exécutif provincial , le Lualaba s’est revêtu d’une nouvelle image. Plusieurs secteurs se sont transformés et ont pris une autre tournure. Outre le domaine des infrastructures où l’on a vu plusieurs routes être construites et réhabilitées sur l’ensemble de la province , la fille aînée de l’Union sacrée Lualaba concrétise avec distinction dans son territoire l’initiative propre du chef de l’état , celle de rendre effective la gratuité de l’enseignement de base.
Même dans le Lualaba profond, cette décision ne souffre d’aucune faille car Félix Tshisekedi peut compter sur Masuka SAINI qui applique cette résolution à la lettre. La cité de KISENGE MANGANÈSE une contrée située à 75 km de Kasaji ville , dans la province du Lualaba, est l’une des preuves éloquentes témoignant que la gratuité de l’enseignement de base reste une réalité.
La capitale du manganèse sans l’entreprise Kisenge en pleine forme, La circulation de la masse monétaire ne plaide pas en faveur des habitants. Alors,
cette gratuité de l’enseignement constitue un soulagement pour les parents épargnés du paiement des frais de minerval et d’autres fais connexes cachés instaurés par certains chefs d’établissements.
Malgré la récession économique qui impacte sur le social de la population, en particulier les professionnels de la craie,cette résolution du pouvoir central relayée en province par Madame le Gouverneur intérimaire ne souffre nullement.
«Chez nous ici la gratuité de l’enseignement est respecté on pourrait estimé à 90 pour-cent , après le lancement de la vision du Chef de l’état, madame le gouverneur a insisté, il nous a envoyé des circulaires afin que nous puissions sensibiliser toute la communauté surtout de ma juridiction. » affirme le Représentant de l’adriministrateur du territoire Monsieur Israël USWALE.
Toutes les écoles de la cité Kisenge observent la gratuité de l’enseignement de base.
«Chez moi ici sur place j’ai plus ou moins 14 écoles primaires et deux écoles maternelles» poursuit Israël Uswale
Notons que cette résolution constitutionnelle est également en lien le droit international relatif aux droits de l’Homme, qui stipule que l’éducation primaire doit être gratuite et obligatoire. L’enseignement secondaire et supérieur doivent être progressivement rendus gratuits.
Force est de constater que malgré les multiples contrariétés, le chef de l’état reste opiniâtre.