FATSHISPHÈRE : LA GUERRE DE CLANS FRAGILISE LE BOSS

Ce qui se passe aujourd’hui dans la FATSHISPHERE, mieux l’entourage de FATSHI, entendez Félix TSHISEKEDI, est tout sauf une invention glorieuse de nouvelles écuries qui forment le cercle restreint, impénétrable et Exclusif au tour du président de la République, dit PR05. Les plus vieux vous raconteront comment, pendant la 2è République, de puissantes personnalités avaient accaparé le Maréchal MOBUTU, au point de l’isoler de tous les autres mouvanciers et des Zaïrois. Conséquences, la suite a été cahotique pour l’aigle de Kawele qui en a payé le lourd tribut.

Pas besoin de narrer aux nombreux et avertis lecteurs de zoometrezoom.com, l’histoire de la récente KABILIE qui a pris en otage le « Raïs » par des artifices de type « KABILA désir, mingimingi Raïs, KABILA to tondi yo nanu te et j’en passe les meilleurs. Le jeune président s’est aussitôt crû devenir le mahatma alors qu’en réalité, il se faisait haïr par son peuple et s’en éloignait de plus en plus du fait de ces vieux renards qui n’ont pas hésité de le quitter pour l’Union sacrée.
L’histoire du monde renseigne que les guerres des palais ont souvent été à l’origine de la fragilisation de nombreux pouvoirs.

Félix TSHISEKEDI ne serait-il pas dans les mêmes draps que ses prédécesseurs ? Surtout lorsqu’on sait que ce genre des pratiques sont inhérentes à tout pouvoir et qu’il n’en manque pas toujours quelques-uns, qui cherchent à accroître leur influence au tour du Roi.

Les faits

De Vital KAMERHE autrefois désigné comme le Coach du PR05 , en passant par JM KABUND dit le maître nageur, jusqu’à François Beya le Fantômas ; leurs chutes n’ont été que l’œuvre de différents clans fratricides qui se sont créés dans l’environnement immédiat du fils du sphinx. Coups bas, empoisonnement et autres astuces sont utilisés pour arriver à des fins personnelles, notamment celle de gagner la confiance du chef et de se créer un cercle d’influence.

Mais la question demeure, Est-ce-que des gens aussi occupés par la recherche effrénée du pouvoir et du blé, trouveront le temps à consacrer aux projets intégrateurs pour le bien-être de la population ? Sauront-ils conseiller utilement le Boss en vue des politiques publiques à grand impact ? Quelle énergie donneront-ils aux questions essentielles s’ils la consacrent d’ors et déjà à se monter les uns contre les autres ? Bref, les énergies sont éparpillées et c’est au seul Boss, le président de la République donc, de remettre les pendules à l’heure par un toilettage sans complaisance de la FATSHISPHERE.

Des conseillers qui se la coule douce, sans pertinence aucune dans le rendement alors qu’ils y ont été nommés pour donner le meilleur d’eux-mêmes.
On plutôt assiste à une bataille rangée entre les importés de la diaspora d’une part, des locaux ayant inhalé les gaz durant les marches et les consanguins dit mashi aaa mu menu d’autre part, ce qui n’aide cependant pas le chef de l’État à se procurer un bilan expressif pour affronter les élections prochaines.

Cissé Traoré/zoometrezoom.com

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Résoudre : *
14 × 12 =