En loge maçonnique les Travaux du 18 ème degré se terminent toujours par la sainte cène nommée ici «cène rituelle»
Aujourd’hui la sainte cène est une pratique populaire dans les Eglises protestantes et même l’ Église catholique qui la nomme “eucharistie”
La Sainte-Cène représente un aspect essentiel de la vie des Églises protestantes, car elle est le plus souvent l’un de leurs deux sacrementss, l’autre étant le baptême. Néanmoins, il règne une grande diversité quant à sa fréquence, qui va d’une célébration hebdomadaire à deux fois l’an.
Symbole de la communion des croyants avec le Christ et entre eux, elle exprime l’unité de la communauté et celle de l’Église. Le refus de l’admission réciproque à cette célébration est un signe de rupture ou de division. C’est également par l’exclusion de certains fidèles à la participation à la Sainte-Cène que des Églises protestantes font valoir leur discipline ecclésiastique.
Origine de cette pratique qui symbolise le point névralgique du message de La Croix.
L’origine de ce rite est commune à tous les chrétiens : selon le Nouveau Testament, en particulier la Première épître aux Corinthiens et les Évangiles synoptiques, il fut institué par Jésus-Christ, qui, la veille de sa Passion, distribua du pain et du vin aux apôtres en leur disant : « Ceci est mon corps […], ceci est mon sang […]. Vous ferez cela en mémoire de moi. »
Les catholiques et les orthodoxes décrivent l’eucharistie comme une véritable « actualisation », non sanglante, du sacrifice du Christ en vue du salut, par le ministère du prêtre. De leur côté, les protestants affirment que le texte biblique ne soutient pas la théorie de la transsubstantiation enseignée par l’Église catholique. Les luthériens emploient le terme de consubstantiation. La tradition calviniste professe la notion de présence spirituelle. Chez les chrétiens évangéliques, on parle d’un mémorial du sacrifice de Jésus-Christ.
Une pratique qu’on retrouve dans la franc-maçonnerie avec un sens similaire à la seule différence qu’ici Jesus-Christ est supplanté par l’homme , alors que les mêmes outils sont utilisés notamment le pain et le vin.
En loge maçonnique les Travaux du 18 ème degré se terminent toujours par la sainte cène nommée ici « cène rituelle » les rose-croix se rassemblent autour d’une table et le très sage dit : la nourriture que nous allons prendre représente notre corps et notre sang . Qu’elle augmente les forces de notre vie
On fais alors passer le plateau avec le pain et la calice du vin aux frères qui se servent et redonnent au très sage qui après avoir mangé le morceau de pain et bu une gorgée de vin , jettera les restes au feu , en disant: « consommatum Est »(Tout est accompli )
Nous paraphrasons “Qu’elle augmente les forces de notre vie” le même message que nous trouvons dans l’ancienne alliance ici
Dieu a donné à Israël la manne pour manger dans le désert qui était extraordinaire et étrange parce que la bible dit qu’il n’y avait pas une seule personne faible parmi eux et leurs jambes n’étaient pas enflées pendant 40 ans (psaumes 102 : 37)
« Jesus a dit ma chair est la vraie viande ; cela signifie qu’il a la comparaison en terme de valeur nutritionnelle. Dire que le sang et la vrai boisson implique que que c’est la boisson la plus haute qualité . Lorsque vous mangez et buvez ces bonnes choses , votre force est renouvelle comme l’aigle » David OYEDEPO pasteur Nigerian.
Nous comprenons grosso modo , que c’est plutôt le sens symbolique qui en substance possède certaines vertues non négligeables que de s’intéresser sur l’aspect authentique de la pratique.
Symbolisme maçonnique et tradition chrétienne, tel est le titre d’un ouvrage de M. Jean Tourniac consacré à un sujet, L’auteur, disciple de René Guenon, répudie toute tendance à l' » occultisme « . Il déclare se soumettre au magistère catholique. Son intention est de montrer, par l’étude des symboles et des rites » écossais « , ce que les maçons ont perdu quand l’Église s’est séparée d’eux, et ce que l’Église a rejeté quand elle a transformé des » hommes de bonne volonté » en ¦ frères séparés « .
Sources : Livre « Repas miraculé » (pasteur David OYEDEPO) , Le monde.fr , wikipédia , bible et le livre « Maçonnerie et sectes secrètes » le côté caché de l’histoire.