Covid-19 : En RDC, les nouveaux vaccins arriveront d’ici le 15 Août.

En France de nombreuses femmes font état de troubles transitoires du cycle menstruel à la suite de la vaccination contre le Covid-19. L’Agence nationale de sécurité du médicament entend mettre ce « signal potentiel » en discussion au niveau européen, mais les travaux manquent pour conclure.

« Trois semaines de retard », des règles « super douloureuses après le vaccin » ou plus abondantes, un syndrome prémenstruel « plus violent » : sur les réseaux sociaux, les témoignages évoquant des troubles du cycle menstruel très variés survenus après une injection de vaccin contre le Covid-19 se multiplient. Dans son enquête de pharmacovigilance datée du 30 juillet, l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) a pour la première fois évoqué ces troubles comme « signal potentiel » associé à l’injection des produits des sociétés Moderna et Pfizer-BioNTech.
Au total, 49 cas de troubles des règles faisant suite à une vaccination avec celui de Moderna et 261 à la suite d’une vaccination avec celui de Pfizer-BioNTech (essentiellement après la première dose) ont été rapportés depuis le début de la campagne vaccinale à l’agence chargée de la surveillance des effets indésirables, dont 36 graves.

En RDC 81 910 personnes ont été vaccinées parmi lesquelles 4 260 ayant reçu leur deuxième dose. Ceci qui augure une bonne perspective d’amélioration de l’acceptation future du vaccin par la population.
Le processus d’allocations diversifiées de vaccins à la République Démocratique du Congo avance normalement et la première livraison interviendra dès la première quinzaine du mois d’aout.

Article le monde.fr /ZOOMNEWSCONGO

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