Le ministère public requiert 10 ans de prison contre les militants de la lucha poursuivis pour destruction méchante.
8 militants du mouvement citoyen Lutte pour le Changement (LUCHA) risquent 10 ans de servitude pénale principale pour sabotage et 5 ans pour violences et insultes à l’encontre d’une sentinelle.
Le ministre public a, dans son réquisitoire, requis une peine lourde contre ces activistes pro-démocratie, au cours de l’audience tenue devant le tribunal militaire garnison de Beni-Butembo. Ils ont été arrêtés à Beni depuis le 19 décembre 2019 lors d’une marche organisée pour dire non, à la Monusco.
Les huit militants de la Lucha étaient arrêtés le 19 décembre, au cours d’une manifestation demandant le départ de la Monusco.