Altercation sur twitter entre un très proche de Joseph Kabila et un très proche de Félix Tshisekedi sur la protection du sénateur à vie.
Alors que Barnabé KIKAYA exhortait sur twitter ,les congolais et les autorités en place de sécuriser la première alternance, ses acquis et son premier président honoraire en vie
« Sauver Kabila, un devoir citoyen. Après avoir livré Kasa Vubu, Mobutu et LD Kabila nous ne pouvons plus nous permettre cette malédiction de laisser nos leaders à la merci des ennemis de notre pays. Il est temps que les écailles tombent des yeux des esprits faibles. » a-t-il dit
Dans la foulée , l’ambassadeur itinérant du chef de l’État felix Tshisekedi se propose de réagir en première ligne.
« Doit-on comprendre que les tombeurs de Mobutu sont porteur de la malédiction ou sont-ils de simples esprits faibles ? Quid de notre alternance pacifique tant vantée ? De quoi l’homme a-t-il peur ? » a-t-il écrit , une réaction qui crée de la stupéfaction dans le chef de l’ex ambassadeur de la RDC en grande Bretagne sous l’ère de Joseph Kabila qui ne tarde à manifester son indignation
« J’ai du mal à croire que ce commentaire est réellement de l’Ambassadeur Nicolas Kazadi. Ce texte a une vocation pédagogique et une telle réaction de celui qui est considéré comme la crème du pouvoir actuel est mal venue. Faudrait il y voir une réaction à chaud et sans recul? » rebondit Barnabé Kikaya
Enfin place au jeux de ping-pong entre les deux caciques de la classe politique congolaise et proches de deux présidents congolais(honoraire et en fonction) respectivement ex ambassadeur de la RDC en Grande Bretagne et ambassadeur itinérant du président de la République Félix Tshisekedi
Nicolas kazadi (ambassadeur itinérant de Félix Tshisekedi)
« J’ai du mal à croire que vous n’avez pas compris mon propos.Vous êtes trop avisé pour que ce soit le cas. Notre alternance tant vantée ne consacrait-elle pas la fin de cette malédiction à laquelle vous faites allusion ? Mais cela ne voulait pas dire statut quo indéfini… »
Barnabé kikaya (ex ambassadeur sous l’ère Kabila) rebondit et met fin à la joute
« Un jeu de Ping Pong littéraire n’arrangera pas les choses. Laissons aux lecteurs le soin de faire l’interprétation qui sera guidée par leur propre intellect. » conclut-il l’altercation