EN IMAGE LE PARCOURS PRODIGIEUX DU ROI PELÉ
Triple champion du monde, héros national, icône mondiale, footballeur ayant marqué le plus de buts… Retour en images sur la carrière et la vie de celui qui est considéré par beaucoup comme le meilleur joueur de l’histoire du football.
L’enfance : Né d’un père footballeur, le jeune Pelé grandit dans la pauvreté mais se fait vite un nom avec l’équipe junior du club local, Bauru.
Santos : l’amour de sa vieEn 1956, à 16 ans, le jeune Edson Arantes do Nascimento dispute son premier match officiel avec Santos. Il restera 18 ans dans le club de Sao Paulo, avec qui il remportera deux Copa Libertadores et six Championnats du Brésil. (L’Equipe)
Pelé découvre le monde: Au Mondial 1958 en Suède, Pelé découvre le monde. Ici dans les rues d’une ville suédoise en compagnie de Zito, son coéquipier à Santos. Il ne le sait pas encore, mais c’est sans doute l’une des dernières fois de sa vie où le Brésilien peut apparaître en public sans déclencher un attroupement. (L’Equipe)
Et le monde découvre Pelé: Aux entraînements de l’équipe du Brésil, ce n’est pas encore l’hystérie, mais plutôt la curiosité devant le jeune prodige qui jongle pieds nus. (L’Equipe)
éclosion : Pelé termine le tournoi avec six buts en quatre matches deuxième ex-aequo derrière Just Fontaine et ses 13 buts, et est nommé meilleur jeune joueur. La légende est en marche. Ici avec le trophée Jules Rimet et ses coéquipiers Djalma Santos et Zagallo. (L’Equipe)
1958, la première Coupe du mondeA 17 ans, Pelé est le plus jeune joueur de l’histoire à disputer une finale de Coupe du monde. Il marque deux buts lors de la victoire des siens face à la Suède (5-2). Au coup de sifflet final, il s’évanouit sur le terrain avant de pleurer dans les bras du gardien Gilmar. (L’Equipe)
Pelé est attendu par la planète entière lors du premier match du Brésil au Mondial 1962. Contre le Mexique (2-0), il fait une passe décisive sur le premier but et marque le second après avoir effacé quatre défenseurs. (L’Equipe)
Garrincha prend le relaisBlessé lors du second match du Brésil face à la Tchécoslovaquie, il est obligé de regarder la suite du tournoi depuis les tribunes. C’est l’autre phénomène de l’équipe, Garrincha, qui mènera les siens vers leur second titre mondial d’affilée. (L’Equipe)
Une finale en tribunesPendant la finale du Mondial 1962 Brésil-Tchécoslovaquie (3-1) à Santiago, au Chili. (L’Equipe)
1966, le traitement de chocLe Brésil, double champion en titre et qui compte dans ses rangs le meilleur joueur du monde, se présente comme le favori à sa propre succession au Mondial 1966 en Angleterre. Mais ses adversaire ont un plan: empêcher Pelé de s’exprimer en l’agressant dès qu’il touche le ballon. Lors du premier match, les Bulgares commettent faute sur faute contre lui, et finissent par le blesser. (L’Equipe)
seule éliminationAprès avoir manqué le second match face à la Hongrie sur blessure, Pelé revient pour la dernière rencontre du groupe face Portugal, qui lui infligent le même traitement que les Bulgares. Le Brésil se fait éliminer dès la phase de groupes. (L’Equipe)
Pelé superstarPartout où il va, le désormais triple champion du monde est accueilli comme une rock star par des hordes de fans et de chasseurs d’autographes. Ici à Birmingham, en Angleterre, en 1972. (L’Equipe)
New York CosmosEn 1975, Pelé signe, à 35 ans, au New York Cosmos, où il jouera trois saisons et sera rejoint par Franz Beckenbauer. Le Brésilien y remportera un titre national et participera surtout grandement au développement du sport le plus populaire du monde aux Etats-Unis. (L’Equipe)
Un ambassadeur aduléAmbassadeur du Brésil, du football, de la paix dans le monde… L’aura de Pelé immense et ses apparitions créent toujours l’évènement. Ici lors d’un match amical France-Brésil en 1981 au Parc des Princes. (L’Equipe)
Pelé et le Ballon d’OrPelé : qui remet le Ballon d’Or 2014 à Cristiano Ronaldo, n’a jamais remporté le prestigieux trophée individuel, qui récompensait à l’époque les joueurs européens, mais a reçu un prix d’honneur en 2013. (L’Equipe)
